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La montagne ca vous gagne!
4 mars 2012

Le Mont Fourcat autrement (depuis Cazenave)

Il y a des jours comme ça, où l’on pense se rendre à un point bien déterminé par un itinéraire certes peu commun, mais soi-disant connu de l’un des comparses,  et où la randonnée pour laquelle on s’est levé le matin devient en réalité une édition spéciale, très spéciale…

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Cazenave (950 m), parking de la mairie, un dimanche matin vers 9h40. Nous (Laurent, Fred et moi) nous engageons sur un sentier qui longe un cours d’eau plein de charme, à gauche de la mairie. Bien que nous montions doucement, la pente échauffe déjà nos organismes et je tombe rapidement la veste pour me retrouver en tee-shirt.

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Point bien déterminé du jour : le sommet de l’Estagnole (1934 m), dans le massif du Saint-Barthélémy (ou massif de Tabe). Itinéraire peu commun : Cazenave, pla de … Tabe (tiens-tiens !!!), crête ouest de l’Estagnole.

Peu de temps après le départ, nous arrivons à une intersection ; à gauche, Serres-et-Allens, à droite, Cazenave.

Instinctivement, je serais allée à droite, pour bifurquer plus loin vers le Nord-Est et espérer trouver le sentier montant à travers bois vers le pla et s’arrêtant net 300 mètres environ avant la cabane.

Or, je suis Fred qui prend la direction de Serres-et-Allens. Nous entamons une descente, ce qui me surprend, alors je m’arrête pour lui demander si c’est normal. A ce moment, il a un doute et après vérification sur la carte, nous avons la confirmation que nous sommes dans la mauvaise direction. Effectivement, Serres-et-Allens se trouve à l’opposé de notre destination. Demi-tour donc et nous nous engageons dans la forêt par ce qui nous paraît être un semblant de trace… Là-haut, au loin, il y a un pla, sur notre gauche. Fred me confirme que c’est là-bas que nous devons aller…

On jardine un peu, mais tant bien que mal, nous chopons de temps en temps une sente, sans aucun balisage, bien sûr. Fred semble inexorablement attiré vers le torrent qui se trouve à notre gauche, je ne sais pas pourquoi. Laurent et moi trouvons un sentier un peu plus (je dis bien un peu) marqué ; nous le suivons alors, dans un enchevêtrement de troncs couchés et de branches mortes. Fred nous rejoint au moment où nous tombons sur des traces de raquettes. Nan, quelqu’un d’autre est passé par ici ? Si tel est le cas, c’est qu’il y a un chemin, alors ?

En même temps que Laurent et moi commençons à marcher dans ces empreintes, Fred nous informe de la présence d’un balisage (ronds orange) sur l’autre rive du torrent. J’y prête à peine attention, préférant suivre les traces humaines laissées dans la neige par notre prédécesseur, me disant que lui, au moins, connait peut-être l’itinéraire, ce qui ne semble plus tout à fait être le cas de Fred.

Pourtant, et sans doutes à cause du cheminement encombré d’arbres déracinés, de l’obsession de Fred à rejoindre puis traverser le torrent et surtout la quasi certitude de trouver un « bon » sentier de l’autre côté (puisque balisage il y a), je décide de l’écouter et le suivre.

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Le torrent est large, le débit assez fort… Après avoir cherché le meilleur endroit pour traverser, les garçons le franchissent sans difficulté tandis que moi, croyant pouvoir m’assurer en me tenant à une branche, je vous le mets dans le mille, si vous avez l’habitude de lire mes récits, vous n’en serez pas étonnés et aurez même probablement anticipé la suite ! Et oui, une fois n’est pas coutume : je prends un bain… Cette fichue appréhension à l’abord d’un cours d’eau me fait une nouvelle fois goûter la fraîcheur du torrent. Me voilà trempée jusqu’aux genoux. Ce n’est pas chaud, mais ça va, c’est supportable ! Heureusement que je ne suis pas sensible à ce genre de déconvenue !!! Si la branche sur laquelle je comptais ne s’était pas cassée, aussi !!! C’est vraiment pas de bol… Ca me rappelle la fois où, pour éviter un bourbier en VTT, Patrick et Ludo avaient réussi à passer sur le côté sans descendre du vélo en se tenant aux branches, et où moi, faisant la même chose avec une belle assurance, je m’étais retrouvée les 4 fers en l’air dans la mare de boue… Pourquoi la branche avait tenu pour eux et pas pour moi, pourtant la moins lourde du groupe ?

Bref, revenons-en à nos moutons, qui eux, s’ils commencent à repeupler le piémont, ne sont pas encore dans la montagne…

Nous nous retrouvons donc sur un joli sentier, assez large, bien balisé… Ca c’est la récompense. Mais ça ne va pas durer ! En effet, au sortir de la forêt, une flèche nous indique de prendre à gauche toute, ce que nous faisons, bien sûr…

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Après un petit cheminement bien « drêt » le paysage s’ouvre enfin et nous découvrons les montagnes ariégeoises… C’est beau, mais il nous faut à présent gagner ce fameux pla. Fred m’assure que la cabane se trouve en haut « là, vers la gauche ». Et bien, c’est parti ! Au départ, nous prenons une bonne suée (le soleil arrive de temps en temps à percer la couverture nuageuse) dans de l’herbe et un fatras de fougères desséchées (heureusement !), puis rapidement, nous oublions que nous avons chaud car nous nous retrouvons à faire les sangliers dans les genêts. Quand enfin nous sortons de cette jungle, « là-haut » je suis surprise de constater qu’il y a encore quelques arbres épars. Je suis également étonnée par le dénivelé. Il me semble avoir fait plus que les 600 m prévus au départ alors que d’habitude, j’ai plutôt tendance à sous-évaluer. Je ne dis rien, c’est peut-être la nature du terrain et les difficultés d’évolution qui m’induisent en erreur…

On avance encore un peu, histoire d’élargir notre champ de vision, mais pas de cabane à l’horizon.

Lasse, passablement énervée, je décide que les rochers parsemant ce point culminant feront une très bonne table et une excellente assise pour le déjeuner. Ca tombe bien, il fait faim, et il est midi !

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Devant nous, se dresse … l’Estagnole, dit Fred. Il y a pas mal de monde sur la crête sur laquelle certaines personnes semblent avoir bien du mal à progresser. Pourtant, d’ici, la pente semble plutôt douce… C’est curieux, cette crête me rappelle étrangement celle allant du col de Traucadou au Fourcat. La voie « classique » du Fourcat par Croquié, quoi. La croupe, les piquets de clôture, l’allure débonnaire du Mont… Mais je n’en dis rien ; je ne veux pas mettre en doute la parole de Fred. De toute façon, pour le moment, je ronge mon frein et j’ai les pieds gelés. Ca me suffit pour anesthésier ma réflexion et je ne veux surtout pas relancer le débat.

Laurent est assez agacé aussi ; je me dis que si on voulait le dégouter de la montagne, ben c’est plutôt réussi. Lui qui a eu du mal à se lever et qui a montré bien peu d’enthousiasme jusqu’à présent, se retrouve dans une petite galère, galère qui prend l'eau, d'ailleurs, et il a les pieds aussi trempés que les miens.

Toutefois, alors qu’il semble évident que nous allons retourner au parking par le même chemin, c’est lui qui va remotiver la petite troupe pour continuer vers le sommet.

Mais avant, il faut que je vous explique : entre le fromage et le chocolat, Fred me dit tranquillement, en pointant du doigt ce qui était jusqu'alors l'Estagnole : « En fait, ça c’est le Fourcat, et l’Estagnole est-là bas, avec le large col d’Aygue-Torte entre les 2 ». Voilà, il confirme ce que je pensais depuis le début. Ouf, nous sommes d’accord ! No comment…

Dès lors, cela nous permet de nous situer : nous ne sommes donc pas, mais pas du tout, sur le pla de Tabe, mais bien plus au nord sur le pla de Sau. Comment nous sommes arrivés là, c’est un mystère. Cela confirme néanmoins mon intuition du départ, de vouloir aller à droite plutôt qu’à gauche et de ne pas vouloir franchir ce fichu torrent.

Bref, l’heure n’est pas à la discussion, car Laurent nous balance un : « Bon, on fait quoi maintenant ? On n’est pas monté pour manger et puis redescendre ? ». Alors là, l’occasion est trop bonne et spontanément, je réponds : « Oui, c’est vrai, c’est bête de monter et de ne pas faire de sommet. Si tu veux, c’est le moment, il n’est pas loin ». Et de rajouter : « On peut même en faire 2, avec l’Estagnole, et redescendre par la crête par laquelle nous étions sensés arriver. Au moins, ça sera moins galère que ce que nous avons vécu à l’aller ». Le seul hic : retrouverons-nous le sentier une fois la cabane du pla de Tabe dépassée ?

Laurent semble d’accord. La seule chose qui l’ennuie, c’est la neige… Il n’a plus trop envie de mouiller ses pieds déjà trempés. Mais le problème est vite résolu, on voit bien que les crêtes sont pelées ; il y a juste un petit passage enneigé au départ, et après, c’est de l’herbe. Vite, vite, partons avant qu’il ne change d’avis !

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Tandis que Fred et moi montons tout droit à l’assaut du Fourcat, Laurent prend légèrement à droite, juste sous la ligne de crête, pour éviter la neige. Nous nous rejoignons après cette première partie, et progressons ensemble au fil des touffes d’herbe qui émergent sous un vent bien froid…

De cette façon, nous atteignons la crête de Croquié au niveau de la cabane pastorale. Le reste n’est plus qu’une formalité, vite avalée. Boudiou qu’il fait froid ! Nous ne nous attardons pas au sommet (2001m), et le temps de prendre une photo, de repérer la suite du parcours, la neige, tout doucement, fait son apparition. Nous gagnons alors rapidement le col d’Aygue Torte(1780m), heureusement à l’abri du vent. Dans notre dos, le Fourcat a l’air d’un monstre de pierre…

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04 le fourcat derriere nous dans la descente vers le col d

05 au col d'aigues tortes vers l estaniol

Nous avons repéré qu’il n’est pas nécessaire de monter au sommet de l’Estagnole et que nous pouvons rejoindre la ligne de crête en coupant à flanc ; le terrain est bon. Bien nous en prend, car déjà, le sommet a disparu dans les nuages. Raquettes aux pieds, nous évoluons en pente douce vers la forêt. La brume qui arrive de notre droite ne présage rien de bon et nous envahit avant que nous ayons atteint la limite de la forêt. Désormais, nous avançons dans le brouillard, mais heureusement, il n’est pas trop épais et nous avons bien repéré notre itinéraire.

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06 nous coupons sur le flanc de l estaniol

En arrivant à couvert, je sors la carte pour faire un point. Pensant avoir dépassé la ligne de crête, on s’aperçoit qu’en continuant tout droit, on devrait forcément couper la piste menant à la cabane, où que l’on soit. Des bruits de moto nous confirment d’ailleurs que nous n’en sommes pas loin. Pour le moment, cette descente est un régal. Nous nous enfonçons pas mal dans la neige vierge, mais le cheminement dans cette forêt clairsemée reste toutefois très agréable… sauf pour Laurent peut-être qui n’arrête pas de chuter – ses raquettes ne sont pas assez grandes – mais qui malgré tout, refuse de prendre au moins un bâton et surtout, garde ses mains dans les poches. Ah, ces ados !

Nous filons à belle allure, mais toujours pas de piste ! Un peu plus loin, à notre droite, on voit une clairière. Naturellement, nous nous y rendons. Nouveau point carte. Ah... Finalement, nous n’avons peut-être pas franchi la crête de l’Estagnole et sommes peut-être trop décalés vers le Nord. En soi, ce n’est pas très grave. Nous sommes sûrs d’arriver à Cazenave en tirant plein Ouest et tant que la forêt est propre, notre progression reste facile.

Le temps s’éclaircit, ce qui permet à Fred d’apercevoir des mouflons. Laurent et moi les ratons.

Nous nous retrouvons au bord d’un ruisseau. Logiquement, dixit Laurent, celui-ci devrait nous amener au gros torrent de ce matin. Nous le suivons donc. Effectivement, au bout d’un certain temps, nous tombons sur des traces de raquettes et les suivre nous ramène tout naturellement au sentier de ce matin, en rive gauche du torrent. Nous retirons les raquettes et poursuivons la descente dans le fatras de bois mort. Lorsque nous regagnons la grande piste, puis plus loin l’intersection Cazenave/ Serres-et-Allens, nous prenons à gauche direction Cazenave au lieu de reprendre le sentier de départ de ce matin. Cela semble plus court, et ainsi, nous pourrons voir s’il y a plus loin un sentier montant vers le Sud-Est. Effectivement, même sans sentier, le cheminement vers le pla de Tabe nous apparaît comme une évidence, et nous confirme que nous avons vraiment pris la mauvaise direction dès le départ. Fred reconnait les lieux, mais bon, en même temps, il avait reconnu aussi l’endroit de ce matin !

La piste m’apparait comme une véritable autoroute compte-tenu de ce que nous avons vécu toute la journée et ça devient lassant. Surtout, ce retour qui semblait pourtant plus court que l’autre sur la carte, est bien bien long. Ca voudrait dire que l’intersection ne se trouve pas où je pensais ? Décidément, je n’y comprends rien à cette carte !

 07 au dessus de cazenave

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Nous longeons des vestiges de terrasses, témoins de l’activité agricole d’avant et aujourd’hui terrain de jeu des mouflons qui nous montrent à plusieurs reprises leurs fesses blanches. C’est également le lieu de copulation et une véritable maternité pour les grenouilles qui se hâtent de rejoindre leur mare à notre approche.

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Enfin, après avoir négocié un virage en épingle, nous descendons. Nous trouvons le moyen de perdre le balisage à l’entrée de Cazenave et nous retrouvons dans une cour privée, et les panneaux d’interdiction, de propriété privée et des chaînes nous prouvent que nous ne devons pas être les seuls à commettre cette erreur.

A 16h45 environ, nous sommes à la voiture, un peu mouillés. En effet, si là-haut, seuls quelques légers flocons virevoltaient, ils ont rapidement été remplacés par la pluie au fur et à mesure de notre descente. Laurent et moi ne prenons même pas la peine de changer nos chaussures et c’est ainsi que nous allons au Saint-Roch prendre un bon chocolat (+ un croissant).

Malgré les déboires de ce matin et mon quart d’heure de râlerie, nous sommes au final bien contents de cette randonnée et d’avoir ainsi gravi le Fourcat par un itinéraire insolite, peu commun et probablement rarement emprunté. Nous-mêmes ne l’avions pas prévu de cette façon. D’ailleurs, le Fourcat n’était même pas au programme !

De nombreuses questions restent en suspens et je n’ai qu’un regret dans cette histoire, ne pas avoir pris mon GPS, rien que pour voir notre cheminement sur la carte car j’ai beau la regarder et la regarder encore, je n’y comprends rien. Je saurais dire par où nous sommes passés à peu près, mais ce qui me pose problème, c’est le tracé (quand tracé il y a). Même le retour, pourtant balisé en jaune et marqué en rouge sur la carte, ne me parait pas exact, à cause de la ligne électrique sous laquelle nous sommes passés à 2 reprises si mes souvenirs sont bons, alors que le tracé sur la carte ne fait pas du tout passer dessous. A cause de la distance, surtout. Même si l’intersection à laquelle je pensais être était en réalité beaucoup plus au Nord, cela fausse les distances du matin.

Et les traces de raquettes que nous avons délaissées au profit de la séance canyonning, où menaient-elles ?

Le balisage orange en rive droite du torrent reste aussi un mystère. Il y a bien une trace sur la carte, d’1 cm environ, mais guère plus… Ah, ces cartes IGN au 25 000ème qui me posent toujours problème ! J’aime comprendre, or là…

J’y retournerais bien rien que pour voir, mais ça n’aurait plus grand intérêt. Toujours-est-il que je retournerai au moins à la recherche de la cabane du pla de Tabe…

Qui m’accompagne ?

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 Panorama depuis le pla de Sau

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La crête de Croquié et le pic de la Lauzate

 

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Les terrasses

 

Aller au Mont Fourcat de façon plus ou moins classique:

 

Le Mont Fourcat depuis Croquié au printemps http://la-montagne-ca-vous-gagne.over-blog.com/pages/Randonnees_ariegeoises_Fevrier_Mars_2011-4772258.html (récit n°7)

 

Le Mont Fourcat et le pic de Han gelés  http://la-montagne-ca-vous-gagne.over-blog.com/pages/La_montagne_plurielle-6942006.html  (récit n°2)

 

Le Mont Fourcat très venté  http://la-montagne-ca-vous-gagne.over-blog.com/pages/vacances-de-paques-en-famille-8297759.html (récit n°3)

 

Le Mont Fourcat depuis Labat  http://pyreneesmagiques.canalblog.com/pages/le-mont-fourcat-depuis-labat--decembre-2012/26059450.html

 

Commentaires

Salut,

Voici un récit d'une grande franchise, le genre de récit dont on ne se vante pas d'ordinaire et pourtant c'est arrivé à tout le monde. Pour ma part, la dernière fois c'était le 1 mars 2012, nous partons aux étangs de Camporells (66) mais une fois sur la serre de Mauri, impossible de rejoindre le refuge des camporells par la piste carrossable qui parait si large en été et qui semble avoir totalement disparu en hiver. Résultat des courses, on fait une visée et partons en freeride en suivant plus ou moins des faux sentiers au milieu des pins. Ah les sentiers en hiver c'est pas toujours évident !


Salut Canu et merci pour le commentaire... Et oui, parfois, la rando devient galère, on râle de s'être trompés, mais au final, si tout se passe bien quand même, ça fait de beaux souvenirs ... et des choses à raconter!

Bonnes balades!  


Vos compte rendus m'inspirent pour de futures randonnées 

Merci et bonne continuation


Alors attention de ne pas se tromper 

Merci beaucoup...


Re,

Ne vous en fait pas je ne pars jamais sans mes outils de navigation (boussole+carte+gps) 

Il semblerait d'après vos lecture que le saint Barthelemy soit à vous ce que le Canigou est à moi : votre terrain de jeu le plus proche.

Pouvez vous me dire si le St Barth est faisable actuellement en partant de la station des Monts d'Olmes et en remontant la piste en direction du Col de Girabal puis le pic (retour par le meme chemin).

J'aurais préféré faire la boucle "Mt d'Olmes/Col de Cadene/ Etang d'Appy/Col de Girabal/Pic/Col de Girabal/Mt d'Olmes" mais je crains vraiment un trop fort denivele (peut etre verglassé à certains endroits ?) entre l'Etang d'Appy et le Col de Girabal.

L'avis d'une enfant du pays ne peut etre qu'un bon conseil 

Cordialement

Anthony


 Bonjour Anthony,

 

Effectivement, on peut comparer le St-Barth au Canigou : massif détaché de la chaîne, il se voit de partout. Et par temps clair, depuis un sommet, on peut voir l'autre. Du moins, en juillet, j'ai pu voir le Canigou depuis le sommet du St-Barth'.

Actuellement, le massif par les Monts d'Olmes est encore bien enneigé. Il m'est arrivé une petite histoire avec le St-Barth il y a tout juste 2 mois, qui pourrait fausser mon avis sur la question, mais je veux bien vous en dire + en MP...

A bientôt!

Ps: je ne suis pas vraiment une enfant du pays  mais ça me touche que l'on puisse le croire!


Vous pouvez m'écrire sur ma boite mail free que vous connaissez je crois. Mais j'imagine déjà votre mésaventure : le fameux coup du "je prends tout le matos d'hiver sur le dos pour au final me servir de rien faute de neige".

A bientot 

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Commentaires
L
Coucou Mumu<br /> <br /> Quelle sortie ! Je ne suivrais pas votre boucle si je me rends dans ce secteur. Mais je retiendrai qu'il faut être attentif pour ne pas s'égarer.
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